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Nos actions sur le département
Nos missions sur le département
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Le poids économique de la pêche de la pêche de loisir dans le Cantal a été évalué en 2017 par le bureau d’étude Argo&Siloe pour le compte de la Fédération. Une approche plus globale avait été réalisée auparavant par la Fédération Nationale de la pêche en France au niveau national. Les données, de 2016, ont été acquises lors d’enquêtes auprès des pêcheurs, des AAPPMA, d’entretiens avec les professionnels du tourisme, d’utilisation des données de chiffres d’affaires |
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LES PECHEURS DU CANTAL 30% des pêcheurs qui prennent leur carte de pêche dans les AAPPMA du Cantal sont extérieurs au département. Pêcheurs fidélisés à notre département. Les principaux postes de dépenses de ces pêcheurs sont l’hébergement, la restauration et les déplacements. 6,8% des habitants du Cantal pratiquent la pêche, contre 2,4% à l’échelle nationale. Des pêcheurs plus jeunes que les Cantaliens : l’âge médian des pêcheurs est de 42 ans contre 45 ans pour les habitants du Cantal. |
EXTERNALITES POSITIVES 360 000 € : L’apport global du bénévolat des pêcheurs cantaliens est valorisé à hauteur de 360 000 € en 2016. 799 actions ont été menées par les associations de pêche en 2016. 70% de ces actions concernent la préservation de l’environnement, 25 % la sensibilisation et l’éducation, 5 % le développement du loisir pêche. 12 % : part de subventions privées et publiques perçues par les associations. 87% de ces subventions sont dédiées à la réalisation des actions de préservation de l’environnement. 3300 : nombre de jours de bénévolat effectués par les membres des AAPPMA, en 2016, soit l’équivalent de 15 emplois à temps plein. |
L’IMPACT TOURISTIQUE 10 000 : nombre de touristes pêcheurs est estimé en 2015 (source : enquête clientèle Cantal Destination), s’ajoutant aux 14 000 pêcheurs ayant une carte de pêche du Cantal. Le nombre de nuitées des touristes pêcheurs est de 73 890 en 2016. 9 jours : La durée moyenne de séjour. Des séjours qui permettent de générer de l’activité pour les professionnels du tourisme en période creuse. Un facteur d’attractivité résidentielle : 13 % des séjours ont lieu des résidences secondaires. Les autres hébergements principaux sont les campings (35 %) et les gîtes (25 %). Un impact économique souvent méconnu par les professionnels du tourisme (restaurateurs, hébergeurs). |